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Santé

Comment encourager les enfants ayant des difficultés d’apprentissage ?

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enfant dyslexique

Des troubles d’apprentissage comme la dyslexie, la dysgraphie et la dyscalculie peuvent rendre difficile, voire impossible, pour un enfant d’obtenir les mêmes résultats que ses camarades dans un cadre scolaire traditionnel. Certains enfants sont confrontés à une lutte constante contre la lecture et l’écriture et beaucoup risquent de développer une faible estime de soi, en particulier lorsque leur trouble de l’apprentissage n’est pas diagnostiqué et/ou traité.

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il existe des approches, des stratégies et des outils d’apprentissage alternatifs qui peuvent aider les élèves ayant des difficultés d’apprentissage à réaliser leur plein potentiel à l’école. De plus, une attitude positive et de nombreux encouragements de la part des parents et des enseignants peuvent faire des merveilles lorsqu’il s’agit d’inciter ces enfants à rester motivés et à persévérer.

Imaginez la frustration que vous pourriez ressentir si vous passiez toute la nuit à étudier pour un examen et que vous obteniez quand même une mauvaise note, malgré tous vos efforts.

Dans le cas d’un enfant dyslexique, il se peut qu’il épelle correctement un mot un jour et qu’il se trompe le lendemain ou qu’il ait du mal à terminer la lecture qui lui a été assignée. La dysgraphie peut rendre douloureux le fait de tenir un stylo ou un crayon, de sorte que même l’écriture d’un court paragraphe à la main est un défi.

Il est important que les parents et les enseignants comprennent que deux personnes ayant des difficultés d’apprentissage ne seront pas affectées exactement de la même manière. L’impact peut être modéré ou grave, les symptômes commençant souvent à se manifester lorsque l’enfant commence à apprendre à lire et à écrire. Certains troubles, notamment le TDA et le TDAH, peuvent être plus difficiles à déceler pour les parents et les enseignants.

Par exemple, un enfant atteint de TDAH peut être étiqueté comme paresseux, accusé de ne pas être attentif en classe ou discipliné pour avoir été perturbateur à l’école. Cependant, avec quelques ajustements et un travail stratégique ciblé, il peut apprendre à faire face à ses difficultés d’attention.

En savoir plus sur la dyslexie accompagnée de TDAH.

Lorsqu’un trouble de l’apprentissage n’est pas diagnostiquée, l’enfant risque de prendre du retard. Pire encore, des résultats systématiquement insuffisants, un sentiment de malaise devant ses pairs et une attention négative de la part des parents et des enseignants peuvent faire perdre à un enfant par ailleurs très motivé tout intérêt pour l’école. Il peut développer une mauvaise image de lui-même qui peut entraîner des problèmes émotionnels en classe et à l’extérieur.

Encouragement et apprentissage autodirigé

Chaque difficulté d’apprentissage s’accompagne de défis différents ; c’est pourquoi les parents et les enseignants ont tout intérêt à savoir quel type de soutien scolaire et émotionnel est nécessaire. Leur présenter des stratégies et les compétences d’adaptation dont ils ont besoin pour réussir est un bon début, mais il est également essentiel d’encourager une image de soi saine et de favoriser la confiance en soi en favorisant l’apprentissage autonome.

Par apprentissage autodirigé, nous entendons le fait de permettre à l’individu d’être responsable de certains aspects de l’apprentissage, notamment la quantité de matériel couvert dans une session et le temps passé sur une unité donnée.

Les cours modulaires dans lesquels l’apprentissage est divisé en petites sections sont utiles à cet égard car ils permettent aux enfants de progresser à un rythme qui leur convient, en répétant le matériel et en le révisant si nécessaire.

Suivre ses progrès, se fixer des objectifs et travailler dans ce sens, et donner la priorité à différents aspects de ses études, sont des compétences importantes pour le développement de l’enfant. Plus les responsabilités sont importantes, plus l’enfant est fier de ses réalisations et plus il a confiance en lui.

Conseils pour les éducateurs et les parents

Louer l’effort plutôt que la performance.

Les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage n’obtiennent pas toujours de bonnes notes, mais s’ils ont fait beaucoup d’efforts, cela mérite d’être reconnu. Les enseignants peuvent souhaiter se concentrer sur la stratégie d’étude de l’enfant ou sur son approche du travail.

Ont-ils fait des fiches de vocabulaire, passé du temps à la bibliothèque pour faire des recherches, travaillé sur des brouillons ou intégré les commentaires des devoirs précédents ? Il peut falloir beaucoup de courage pour essayer une nouvelle approche et il est important de les motiver, quels que soient les résultats obtenus en termes de pourcentages et de notes.

Mettez les choses en perspective.

Pour les enfants ayant des troubles de l’apprentissage, il peut sembler qu’obtenir un score parfait sur une mesure d’évaluation soit un objectif presque impossible. Rappelez-leur que la perfection n’est pas importante et que les erreurs font partie de l’apprentissage.

Lorsqu’un enfant commence à accepter ses erreurs et à les utiliser pour orienter des études plus ciblées, il est moins susceptible d’attribuer ses erreurs à des échecs ou des déficits personnels. Il est ainsi plus facile de conserver une image de soi positive et saine.

Pensez à vous mettre à leur place. Par exemple, savez-vous comment voit un dyslexique ? Il existe un simulateur qui permet de visualiser un texte de la même manière qu’une personne très dyslexique. Vous comprendrez alors les difficultés de lecture qui viennent avec ce trouble de l’apprentissage.

Partagez votre propre expérience.

Les enfants peuvent bénéficier d’anecdotes qui les aident à établir des liens avec différents aspects du processus d’apprentissage. Pour aider les dyslexiques, les enseignants peuvent leur expliquer comment ils ont traité les sujets qu’ils préféraient le moins ou comment ils ont travaillé sur des sujets qui se sont révélés particulièrement difficiles. Partager votre expérience contribue à développer un lien avec un enfant, ce qui augmente les chances qu’il s’ouvre à vous au sujet de ses sentiments.

Maintenez leur motivation.

Il peut être difficile de motiver un enfant à apprendre lorsqu’il se sent inférieur dans un domaine particulier. C’est pourquoi il est utile de choisir des sujets de cours qui intéressent déjà un enfant. Expliquez-lui pourquoi une tâche particulière vaut la peine d’être accomplie et laissez-lui une certaine marge de manœuvre dans le choix de la manière ou du contenu de ses études. Il existe de nombreux exercices pour les enfants en difficultés scolaire ou souffrant de dyslexie. Vous pouvez également concevoir vous-même des systèmes de récompense ou planifier votre journée de manière à ce que des activités amusantes servent à interrompre des tâches plus difficiles.

Formez-vous

Ce conseil est principalement adressé aux parents puisque les éducateurs ont déjà reçus des formations adaptées. La plupart du temps les parents peuvent se sentir désemparés face aux troubles de l’apprentissage de leurs enfants. Il peut être intéressant de se former pour mieux les comprendre et être à même de leur apporter la meilleure aide possible. Renseignez-vous auprès d’association de parents proche de chez vous ou encore formez-vous sur internet.

Donnez-leur du temps.

Une intervention peut prendre du temps avant de porter ses fruits et de permettre à l’élève d’acquérir de nouvelles stratégies et compétences. Concentrez-vous sur des objectifs à long terme et décomposez les tâches plus importantes en étapes qui peuvent être espacées dans le temps. Rappelez aux élèves que l’effort et l’approche comptent plus que le temps nécessaire pour terminer quelque chose.

Proposez des modèles inspirants.

Il existe de nombreux exemples de réussite de personnalités célèbres, notamment des athlètes, des hommes politiques et des célébrités, qui ont travaillé dur pour surmonter les difficultés d’apprentissage. Prenez une biographie ou trouvez une vidéo sur une personne avec laquelle vous pensez que l’enfant s’identifiera et parcourez la vidéo ensemble.

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Santé

Faire plein de vitamines pour être en forme

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Vous ressentez une baisse d’énergie le matin au réveil ? Vous avez du mal à vous concentrer sur ce que vous faites ? Vous avez le coup de barre dans la journée ? Tout ça peut être des signes de fatigue. Heureusement, il existe plusieurs solutions naturelles qui vous aident à lutter contre cette dernière et à retrouver votre vitalité. La prise des vitamines est l’une d’entre elles et elle s’avère efficace pour booster votre énergie et être en pleine forme.

Quels sont les rôles des vitamines ?

Etre en pleine forme tout au long de l’année s’avère difficile pour la plupart des gens. En effet, plusieurs facteurs favorisent la baisse de vitalité et la fatigue. Avant de prendre des médicaments, optez d’abord pour des remèdes naturels comme vous découvrez sur https://greenhealth.fr/cat/booster-son-energie/. C’est le cas pour la prise des vitamines. Celles-ci sont des nutriments indispensables pour la santé et le bien-être. Elles jouent un rôle essentiel dans le maintien d’un corps et d’un esprit sains. En effet, elles agissent comme des antioxydants qui aident à protéger le corps des dégâts causés par les radicaux libres. Ces derniers sont nocifs et peuvent causer des dommages cellulaires et entraîner divers problèmes de santé.

En plus des antioxydants, les vitamines contribuent également à renforcer le système immunitaire. En outre, elles sont cruciales pour le maintien de la santé des os. Grâce à tout cela, elles aident à booster la vitalité et à être en pleine forme.

Quelles vitamines prendre pour être en pleine forme ?

Les vitamines présentent de nombreux bienfaits sur la santé et le bien-être. Chacune d’entre elles permet de se maintenir en pleine forme. Toutefois, certaines sont plus efficaces que d’autres. Ainsi, pour lutter contre la fatigue, prenez davantage :

  • des vitamines du groupe B : elles jouent des rôles importants dans le maintien du fonctionnement du système nerveux et dans la production d’énergie. Les vitamines B1, B2, B5 et B12 sont les plus intéressantes pour cela.
  • De la vitamine C : appelée aussi acide ascorbique, elle est très connue par son action anti-fatigue. Il s’agit d’un antioxydant puissant. En plus, elle participe à l’absorption du fer qui est indispensable dans la production de globules rouges.
  • De la vitamine D : son rôle principal est de renforcer le système immunitaire. Mais à part ça, elle est essentielle dans la consolidation des os et à leur mobilité.

Ainsi, si vous voulez rester sain et fort tout au long de l’année, assurez-vous d’avoir un apport suffisant en ces vitamines.

Comment faire plein de vitamines ?

Les vitamines sont des éléments cruciaux pour l’organisme. D’ailleurs, il est plus facile de vous enrichir de ces nutriments. Plusieurs aliments les renferment comme les fruits (orange, cassis, goyave, clémentine, fraise, …) et les légumes (brocoli, poivron, persil, chou…). A cela s’ajoutent les produits laitiers, les poissons gras, les céréales, les abats et les féculents. Ainsi, consommez une alimentation saine pour vous enrichir de ces vitamines. Concernant particulièrement la vitamine D, très peu d’aliments la contiennent. Heureusement, il existe d’autres solutions qui vous permettent d’avoir un apport suffisant en ce nutriment. Il vous suffit de vous exposer au soleil pendant 10 à 15 minutes. La fin de la matinée est le moment idéal pour cela.

Toutefois, avec la routine quotidienne, il devient difficile de prendre une alimentation équilibrée et diversifiée. A cause de ça, de nombreuses personnes souffrent des carences en vitamines et par conséquent d’une fatigue passagère voire même chronique. Pour remédier à cela, il existe des compléments alimentaires riches en vitamines. Ils vous aident à combler vos carences en ces nutriments. Cependant, même s’ils sont vendus en vente libre, mieux vaut toujours demander l’avis d’un médecin avant de les acheter.

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Santé

Infusions de CBD : Deux informations utiles sur ce produit !

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Le CBD (cannabidiol) est une molécule extraite de la plante de cannabis sativa L. Ces dernières années, les allégations sur ses capacités thérapeutiques sont omniprésentes sur internet. Celles-ci ont été confirmées par l’Organisation mondiale de la santé. Pour cela, il est fréquent de trouver sur le marché des produits à base de CBD. Les infusions au CBD font partie des plus tendance. Quels sont leurs bienfaits ? Sont-elles légales ? Découvrez tout dans la suite de ce billet.

Infusions de CBD : Quels sont les bienfaits ?

Aujourd’hui, la consommation du CBD en France est de plus en plus populaire. Cet engouement s’explique par les multiples effets thérapeutiques de cette molécule sur la santé.

Soigner l’insomnie

Selon un récent sondage, 20% de la population serait touchée par l’insomnie. Les principales causes de ce trouble seraient le stress, l’anxiété et la dépression. Pour le traiter, de nombreux médecins suggèrent la consommation des infusions de CBD. Ces dernières se révèlent être de véritables somnifères naturels.

En effet, ce produit thérapeutique présente des effets anxiolytiques grâce auxquels il aide à détendre les nerfs, relaxer les muscles et libérer les tensions. Cela favorise l’endormissement et améliore la qualité du sommeil. Il est important de préciser que les infusions de CBD ne présentent aucun effet secondaire pour la santé.

Améliorer la qualité de la peau

De nombreuses études ont permis de mettre en évidence les bienfaits des infusions du CBD sur la peau. En effet, cette molécule dispose de propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires, nécessaires pour la santé de l’épiderme. En clair, elle permet de l’hydrater, de le purifier et d’améliorer son élasticité. De même, la consommation du CBD à travers les infusions permet de réguler la production de sébum. Cela aide à lutter contre les problèmes comme l’acné, le psoriasis, la couperose, l’eczéma.

Traiter les troubles neurodégénératifs

De nombreux scientifiques affirment que la consommation des infusions de CBD permet de traiter les troubles neurologiques. Entre autres, ce produit est efficace contre la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer. En effet, les études réalisées démontrent que le CBD, une fois dans l’organisme, interagit avec les récepteurs biochimiques CB1 et CB2 du système endocannabinoïde. Par cette action, il élimine tous les symptômes des troubles neurodégénératifs.

Aussi, le CBD provoque la sécrétion de dopamine, hormone régulatrice de l’humeur. Cela permet d’optimiser la qualité de vie des personnes en proie à ces troubles.

Infusions de CBD : C’est légal ?

Depuis sa mise en évidence, le CBD a toujours suscité des débats quant à sa toxicité pour la santé. Mais, les différentes études réalisées sur cette molécule ont démontré qu’elle ne présente aucun effet psychotique. Autrement dit, elle n’est pas dangereuse pour l’organisme bien que provenant de la plante de cannabis. Pour cela, le CBD a été légalisé par le parlement européen le 17 décembre 2013. La seule condition est qu’il ne doit pas afficher un niveau de THC dépassant 0,3%.

Cette décision a été mise en application par la France. Ainsi, quelle que soit la zone dans laquelle vous résidez, vous pouvez acheter et consommer librement les infusions au CBD.

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Le liquide amniotique : Où habite bébé ?

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Pendant 9 mois bébé nage dans un petit nid douillet, votre utérus. Il s’y développe, dort, mange, et fait des galipettes qui vous amusent et vous rassurent. Mais où bébé habite-il vraiment ? De quoi est composé son environnement intra-utérin ? On revient sur cette question…

Dans quoi nage bébé ?

Ce qui permet à bébé de « nager » pendant 9 mois, c’est le liquide amniotique. C’est ce liquide qui sera sa maison pendant toute la durée de votre grossesse et qui lui permettra de grandir et d’évoluer en vous jusqu’à terme. Ce n’est donc qu’au moment de l’accouchement que la poche qui maintient votre enfant au chaud va se rompre et lui permettre de sortir. Cette poche amniotique c’est en quelque sorte un « œuf » composé d’une membrane très résistante, contenant du liquide.

Le liquide amniotique, qu’est-ce que c’est ?

Le liquide amniotique est le liquide qui entoure le fœtus dans l’utérus. Le liquide et le fœtus sont contenus dans des membranes appelées sac amniotique. En effet c’est un liquide clair et stérile qui protège le bébé de l’extérieur. Il permet à votre enfant de rester bien au chaud (37°) malgré les variations de température extérieures et bien à l’abri des infections.

Ce liquide contient 97% d’eau, des sels minéraux et nutriments, des cellules fœtales (parfois ponctionnées lors des amniocentèses), du vernix caseosa, des fragments sébacés et quelques poils.

Il faut savoir que le liquide amniotique s’imprègne de l’alimentation maternelle puisque les nutriments peuvent passer à travers la membrane amniotique et venir parfumer la poche des eaux…

Comment ça marche ?

Le liquide amniotique est avalé par le bébé puis filtré par ses reins et éliminé dans ses urines. C’est un cycle continuel qui permet un renouvellement constant du liquide amniotique.

Au fur et à mesure que la grossesse avance, le liquide est produit en plus grande quantité pour se stabiliser vers 800 ml en fin de grossesse.

Il se forme d’une part grâce aux secrétions des membranes amniotiques et d’autre part grâce à l’urine de bébé : il est donc renouvelé en permanence. Ce n’est pas parce que vous perdez les eaux que le bébé va se retrouver « au sec », le liquide amniotique sera produit jusqu’à la naissance. Un déficit de liquide amniotique peut avoir des répercussions potentielles sur la maturation pulmonaire ainsi que sur le développement moteur du fœtus.​

A quoi ça sert ?

Le liquide amniotique permet d’apporter l’eau et les sels minéraux à bébé, de le maintenir au chaud, de le protéger de l’extérieur en amortissant les chocs et en faisant une véritable barrière contre les infections. Au moment de l’accouchement, il permet de lubrifier les voix génitales et de faciliter la sortie de bébé.

Comment surveille-t-on le liquide amniotique ?

Pour s’assurer que le liquide amniotique est produit en quantité suffisante on réalise des échographies qui mesurent sa quantité (c’est ce qu’on appelle l’index amniotique) : s’il y en a en excès on parlera d’hydramnios, et si au contraire il n’y en a pas suffisamment on parlera d’oligoamnios.

Si on a un doute sur une fissure de la poche, on utilisera un test contenant un réactif qui virera en présence de liquide amniotique, une sorte de gros coton tige.

Si l’on veut vérifier sa couleur on fera une amnioscopie : on introduira alors un petit cylindre au niveau du vagin et on observera la couleur du liquide à l’aide d’une forte lampe. C’est un examen que l’on réalise plutôt en cas de dépassement de terme pour s’assurer que l’environnement du fœtus est toujours sain.

Si l’on a besoin de récupérer et d’analyser des cellules fœtales on réalisera une amnioscopie Grâce à une seringue on viendra prélever une petite quantité de liquide amniotique pour ensuite venir dissocier et récupérer les cellules fœtales.

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